Le risque de subir une commotion cérébrale fait malheureusement partie de la réalité des athlètes. Heureusement, lorsque bien diagnostiquées et bien traitées, les répercussions à long terme de ce type d’accident peuvent être minimisées. Voici un survol de ce qu’est une commotion cérébrale et comment la neuropsychologie peut vous aider à la surmonter. Selon la documentation reçue, le Collège Notre-Dame fait partie des écoles les mieux outillées. Et on constate que mieux les écoles le sont, plus leur nombre de commotions cérébrales est élevé. Ce qui signifie probablement, selon nous, qu’elles détectent mieux les commotions, et non que leurs joueurs en font plus.
La clinique est située au croisement de la rue Coloniale et Elmire. Les ostéopathes sont membre d’Ostéopathie Québec «l’association regroupant le plus grand nombre d’ostéopathes au Québec et au Canada ». Par souci d’équité, Ostéopathie Québec ne peut émettre de recommandations, ni ne conserve de registre des spécialisations des ostéopathes.
En effet, en 2013, Hockey Canada a mis en œuvre une nouvelle règle interdisant les mises en échec dans la catégorie peewee et dans les catégories plus jeunes. En raison de ce changement, le risque de commotion cérébrale a diminué de 70 %, ce qui se traduit par environ commotions cérébrales de moins dans tout le Canada. En ce qui concerne le volleyball, la DreSchneider a expliqué que, selon les recherches, 15 % des commotions cérébrales surviennent pendant la période de réchauffement, quand les joueurs courent sous le filet pour suivre le ballon qu’ils viennent de frapper.
La bursite de la hanche est un problème orthopédique fréquent qui se traduit par une douleur de la face externe de la cuisse et de la hanche. Elle est causée par une enflure douloureuse d’une des bourses séreuses autour de la hanche, une petite poche remplie du liquide synovial qui agissent comme des coussinets autour des tendons, des ligaments et des muscles. Le nerf spinal est particulièrement vulnérable lors de son passage dans le canal latéral, où l’espace est déjà limité.
Les activités sportives avec contacts, soit avec des joueurs de la même équipe, avec ceux de l’équipe adverse ou bien avec des pièces d’équipement, risquent d’occasionner des chocs au cerveau. Cette secousse peut être causée aussi bien par un choc direct à la tête, au visage ou au cou que par un impact à toute autre partie du corps occasionnant une force impulsive transmise à la tête. C’est le mouvement rapide et violent de la tête qui a pour conséquence que le cerveau se heurte contre les parois de la boîte crânienne. Un enfant ayant subi une commotion cérébrale doit reprendre graduellement ses activités (lecture, ordinateur, école, cours d’éducation physique, sport). Une reprise trop rapide peut engendrer des complications et augmenter les risques d’apparition d’autres commotions cérébrales. Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada, «Lignes directrices en matière de commotions cérébrales liées aux sports à l'intention des athlètes canadiens nationaux et des athlètes en développement nationaux de haut niveau», 2018.
Découvrez tous nos expertsConsultez le profil de tous les professionnels de la santé PhysioExtra à votre service. La claudication intermittente médullaire de Dejerine est une autre variété de claudication intermittente. Cette pathologie est appelée par certains méralgie paresthésique. La circulation se situant dans la zone englobant le nerf fémoro-cutané serait soumise à un spasme (fermeture réflexe). Boiterie s'accompagnant de douleurs et survenant au bout de quelques instants de marche.
La DreSchneider a mentionné que les recherches menées par le programme intégré de recherche sur les commotions cérébrales visent à étudier tout le spectre des blessures et à poser des questions de recherche critiques liées à la prévention, au diagnostic, au pronostic,
https://Spaceballs-nrw.de/forum/profile/zbnvictoria946/ au mécanisme des blessures et à la réadaptation. Elle a parlé d’un programme national de recherche récent,
https://spaceballs-Nrw.de/forum/profile/zbnvictoria946/ financé par la Ligue nationale de football, auquel ont participé 25 chercheurs de 10 universités canadiennes, qui ont collaboré avec des organismes sportifs, des éducateurs et des équipes cliniques multidisciplinaires. Ce programme, appelé « Surveillance in High School to Reduce Concussions and their Consequences », ou SHRed, vise à surveiller pendant trois ans élèves qui participent à des sports à grand risque de commotions cérébrales dans 60 écoles secondaires situées dans cinq provinces canadiennes. Cette recherche vise à recueillir des renseignements sur tout le spectre des commotions cérébrales, de la prévention à la gestion. On a mentionné au Sous-comité que les personnes qui ont subi une commotion cérébrale et dont les symptômes ne sont pas disparus à court terme pourraient profiter d’un aiguillage vers une équipe dirigée par un médecin et regroupant divers professionnels de la santé.